Louise Fleury

Louise Fleury

jeudi, 13 février 2020 22:33

Funérailles de Reine-Aimée Welsh

a reine aimée welsh signetcourtLes funérailles ont eu lieu, samedi le 14 décembre, à la
Basilique Notre-Dame du-Cap.


La cérémonie a débuté par un mot de bienvenue de la part de notre présidente, Denise Desrochers, laquelle a présenté d’abord le neveu de Reine-Aimée: le père Denis Paquin, omi. qui a présidé la cérémonie, ainsi que les con-célébrants de celui-ci.
Elle a ensuite souligné quelques traits de la vie de Reine-Aimée.
Étaient rassemblés: des membres de sa famille, des oblates, des Voluntas Dei et des ami(e)s.

Avant la messe, un hommage a été rendu à Reine-Aimée résumant son parcours de vie; en voici, en bref, quelques extraits :

Reine-Aimée, une pionnière dès la fondation de notre Institut.

Reine-Aimée est la 11e d’une famille de 14 enfants, dès son jeune âge, elle a ressenti l’appel de Jésus à lui consacrer sa vie.
Quelques années plus tard, vers l’âge de 16 ans, elle rencontre le Père Louis-Marie Parent,omi et elle lui parle du désir qu’elle ressent. Le P. Parent lui dit alors d’attendre encore un peu... car il avait un projet de fondation.

Puis, en 1952, elle a 23 ans et enseigne depuis quatre ans; elle reçoit une lettre du Père Parent lui annonçant qu’il animera une retraite au mois de juillet à Edmundston, pour les candidates qui désirent se joindre à son projet de fondation. Reine-Aimée participe donc à cette retraite.
À la fin de la toute première journée, le Père Parent détermine déjà les responsabilités de chacune : Luce Lacombe, infirmière, sera une « fondatrice », Isabelle Delisle, une co-fondatrice et Reine-Aimée aura la responsabilité de la formation des nouvelles recrues.

Reine-Aimée hésite un peu à prendre une telle responsabilité... Devant son hésitation, le Père Parent lui demande : « L’as-tu déjà fait Reine-Aimée ?» - «Non» répond-elle... «Alors, essaie et nous verrons.» Et c’est ainsi qu’elle deviendra responsable de formation, d’abord à Grand-Sault, au Nouveau-Brunswick; ensuite, en 1953, à la maison de formation au Cap-de-la-Madeleine.

Reine-aimée avait fait ses premiers vœux dès le 7 octobre 1952; et, c’est très peu de temps après qu’elle commence à cumuler des responsabilités.
Le 21 février 1953, elle ouvre une maison au Cap-de-la-Madeleine. L’adresse de cette maison porte le numéro « prophétique » de « 555 » et la maison est située sur la rue Notre-Dame. Quelque temps après, elle déménagera, avec Marguerite Desharnais, à la Maison du Pèlerin située à 20 rue du Sanctuaire.

Reine-Aimée Directrice générale

Cinq ans plus tard, le 28 décembre 1958, elle est élue, à l’unanimité, Directrice générale de l’Institut. À cette occasion, Mgr Roméo Gagnon la félicite en disant : « Vous êtes le choix de l’Institut, vous êtes aussi le mien ».
Reine-aimée accepte avec humilité ces paroles parce qu’elles viennent de l’évêque qui est responsable de l’Institut à ce moment là. Elle sera la Directrice générale de l’Institut jusqu’à l’assemblée générale de 1967.

Voici quelques épisodes qui révèlent l’humilité qui caractérisait Reine-Aimé :

Un jour, lors d’une visite à Mgr Pelletier, celui-ci s’est exclamé : « Quoi? Une si jeune femme, avec de si grandes responsabilités... ! » Elle de lui répondre : «Je ne suis pas seule, il y a le Père Parent et des compagnes compétentes ... Je ne voudrais pas que le Seigneur me fasse le même reproche qu’il a fait à Pierre : Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ?» ...

Dans une autre occasion, elle fait une réplique semblable au Cardinal Léger qui lui posait la question : «Qui mène dans cet Institut ? Est-ce le Père Parent ou bien madame Welsh? » Reine-Aimée lui répond rapidement : « Ce n’est ni l’un ni l’autre, Excellence, c’est le Saint-Esprit! »...

Suite à l’Assemblée Générale de 1967

Après ces 22 ans de dévouement à la tête et au coeur de l’Institut, Reine-Aimée, accompagnée d’Angèle Demontigny, passera un an à Paris où elle fera des études en relations d’aide.
À son retour, elle intègre le marché du travail d’abord dans des librairies; puis à Québec , comme responsable du Centre d’accueil M.A.S. (Ministère des affaires sociales), qui offrait un service d’hébergement, d’insertion et de réinsertion sociale pour des mères célibataires. Son équipe de travail et le personnel cadre du Centre ont témoigné qu’ils étaient édifiés par son respect des autres, par son calme et sa franchise.

Reine-Aimé retraitée

Quand Reine-Amée a pris sa retraite,(en 1988) elle a vécu en résidence à Québec et ensuite à Montréal. Jamais elle n’a douté de son appel à être oblate, ni de la survie de l’Institut. Son esprit de service, son dévouement et sa fidélité ont donné le ton à toutes les oblates qu’elle a accueillies au cours de ses nombreuses années à la tête de l’Institut.

Pour terminer l’hommage, des extraits de l’autobiographie de Reine-Aimée, rédigés en 2011 à l’occasion de son 60ème anniversaire dans l’institut, ont été cités, résumant bien le parcours qu’elle avait expérimenté, et nous révélant que la discrétion et l’humilité était bien le choix de Reine-Aimée.

c reine aimée welsh menuChère Reine-Aimée, femme discrète et humble, qui a été une si précieuse collaboratrice du fondateur de notre Institut; sache que ton nom restera gravé à tout jamais dans
l’histoire de l’Institut et dans le coeur de chacune de nous qui t’avons connue et aimée. Tu as vraiment été une « Reine, aimée de toutes les personnes qui t’ont croisée ». Obtiens-nous cette grâce de continuer à aimer l’Institut comme toi tu l’as aimé et servi pendant toutes ces années parmi nous. Sois maintenant heureuse avec le Bien-Aimé de ta vie!

Pendant l’homélie, le neveu de Reine-Aimée a su ajouter d’autres traits intéressants de sa tante Reine-Aimée, tels que perçus dans sa famille, soulignant particulièrement la force de son caractère si bien maitrisée au coeur du quotidien.

Après l’inhumation au cimetière du Cap, tout le monde a été invité à partager un repas festif.

 

Avec l’aide de l’Esprit-Saint,

3ème semaine:
J’ouvre mes oreilles en évitant
la plainte et la critique inutiles


écouterLire : Matthieu 11, 2-11: Jean-Baptiste est en prison…Il s’informe: «Es-tu celui qui doit venir?» Jésus lui répond en citant le prophète Isaïe puis fait l’éloge de son cousin. Et chez-nous, la famille s’apprête à fêter Noël. Les repas sont planifiés, les cadeaux s’en viennent;
Dieu s’active aussi «patiemment» en tenant compte des évènements…Vivre ce moment d’attente dans la patience avec les nôtres et, malgré contretemps et fatigues, cultivons l’absence de plaine et de critique inutiles. Disons notre affection et prions pour nos familles…

Lundi: Matthieu 21, 23-27 Jésus enseigne dans le Temple. Les chefs contestent son autorité. Jésus ne se soucie pas d’eux car il vient pour nous.
Savons-nous discerner les enseignements de Dieu parmi tout ce que nous entendons autour de nous ou dans les médias? Prions pour demander le discernement et pour toutes les personnes de bonne volonté en recherche de sens à leur vie.

Mardi: Matthieu 1,1-17 –Les ancêtres de Jésus…
Prions pour les anciens/anciennes de notre pays, de notre diocèse, de notre paroisse, de nos familles qui ont fait grandir la foi au long des siècles… Prions pour que cet Avent aiguise notre foi et nous fasse voir les signes du Royaume autour de nous.

Mercredi: Matthieu 1,18-24–L’ange avertit Joseph de la naissance de Jésus… et de son rôle auprès de Marie et Jésus. Prions pour tous les papas naturels ou adoptifs afin qu’ils assument leur rôle avec courage et générosité.

Jeudi: Luc 1, 5-25 Un ange annonce à Zacharie la naissance de Jean-Baptiste de sa femme Élisabeth, pourtant stérile. Dieu sait tenir parole même si parfois ses chemins sont déroutants. Leur fils sera le plus grand des prophètes. Prions pour les familles qui espèrent un enfant, pour les femmes qui se font avorter… et ceux qui pratiquent ces avortements.

Vendredi: Luc 1, 26-38 «Voici la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon ta parole. ». Dieu s’adresse à moi de bien des manières.. Demandons à Marie de nous rendre attentifs à ses demandes. Que cette fête qui vient nous donne le goût de renaître.

Samedi : Luc 1, 39-45 La joie de Marie la fait «courir» aider sa cousine Élisabeth. Que provoque la joie chez-moi? Prions pour toutes les mamans qui vivent l’attente d’un enfant.

4ème semaine:
Dès mon réveil, j’ouvre mon coeur à Dieu.

coeurdieuLire Matthieu 1, 18-24 Joseph voit Marie enceinte, ...l’ange intervient pour lui expliquer l’œuvre de l’Esprit-Saint.. Une nouvelle pour tous: Dieu se fait proche, Il vient parmi nous … Il naîtra de la race de David, sa descendance. Il vivra notre vie et notre mort. Il ressuscitera et nous donnera la garantie de son Royaume.. Prions pour les missionnaires, pour que là où ils sont et rassurés par l’aide de l’Esprit-Saint, ils apportent l’espérance de la vie éternelle.

Lundi, 23 décembre: Luc 1, 57-66- Naissance de Jean-Baptiste . « On se demande: Que sera donc cet enfant? » Il sera le messager qui précède la prédication de Jésus.. Seigneur, quand je m’interroge sur l’avenir (le mien ou celui des autres), fais que je n’oublie pas que tu es un Dieu fidèle et que tu nous accompagnes toujours. Suscite en moi une confiance totale.

Mardi, 24 décembre: Luc 1, 67-79 Zacharie qui a été muet jusqu’à la naissance de Jean-Baptiste, (parce qu’il avait douté de la Parole de l’ange ) exulte maintenant de joie… De la défiance il passe à la louange…
Prions pour tous ceux/celles qui doutent. Que Marie, (Notre-Dame de la Confiance), affermisse leur foi.

 

crècheNoël 25 décembre
Dans les ténèbres une grande lumière s’est levée..
Joie au ciel, exulte la terre. Dieu se fait enfant. Dieu avec nous. Dieu notre paix!

Seigneur ouvre mon cœur à l’adoration .
Profiter de ce temps pour faire action de grâce pour toutes les joies de Noël.
Prions pour ceux qui souffrent en ce temps d’émerveillement.

Marie-Thérèse G., Oblate

samedi, 05 octobre 2019 22:32

L’Esprit Saint nous conduit

a colombeNous en sommes à notre troisième réflexion. Après avoir regardé qui est l’Esprit Saint et par quels moyens ou dons Il travaille nos âmes, nous réfléchirons sur comment Il nous conduit. Nous nous attarderons sur le silence qui est toujours très important pour mieux entendre sa voix qui parle en secret à nos âmes. Il est donc nécessaire qu’Il nous prépare à l’écoute intérieure et à l’acceptation de ce qu’Il va nous demander.
C’est vraiment dans la paix que règne l’Esprit Saint, qu’Il ne cesse de se donner, enrichissant l’âme qui L’accueille de ses grâces, de ses dons et de ses fruits. Il enseigne aussi comment prier. N’oublions jamais de Le remercier. Il nous montre comment aimer, car la charité dépasse toutes les vertus. Nous, qui voulons vivre l’amour du Christ au moment présent, avons besoin de ce Maître pour y arriver. L’Esprit Saint est l’Esprit d’Amour comme centre de toutes les vertus et de toutes les perfections.
Il est bon de connaître cet état nouveau ou cette action intérieure. Cinq sont les degrés de la vie de l’Esprit Saint dans l’âme et chaque degré comporte de nombreuses nuances :

Premièrement, l’Esprit Saint touche l’âme qui s’éveille et s’émeut. C’est la découverte. Il s’agit de prendre conscience de sa présence active à l’intérieur de nous et d’en être émerveillé. On ne peut que remercier et rendre grâce pour cette faveur. Le Père ne refuse pas ce don si on le demande au nom de Jésus.

Deuxièmement, l’Esprit Saint se pose en l’âme en la remplissant de grâces, c’est-à-dire qu’elle se rend compte que tout ce qu’elle a est un don gratuit de Dieu et que ce qu’elle fait en sa compagnie est facile et réussit toujours. Elle met toute sa confiance et son attention en Lui. Quand elle sent une inspiration, si petite soit-elle, elle le fait, ou le dit sans chercher le pourquoi.

Troisièmement, l’Esprit Saint se repose dans l’âme, c’est à-dire qu’Il n’est pas toujours agissant. Il la détache de la terre, parfois par une maladie ou un accident grave, etc…, qui lui permet d’analyser tous les détails de sa vie et de voir que les grâces reçues furent pour son bien. Même les péchés sont vus comme des chances de remercier Dieu de l’avoir sauvée et de l’avoir protégée.

Quatrièmement, l’Esprit Saint possède l’âme. Elle est totalement à Lui et répond à tous ses désirs, car elle Lui appartient, elle est complètement à Lui. Elle se laisse faire, Le laissant la transformer. L’âme ressent avec plus d’exactitude Sa présence et ses effets, ce qui la détache de tout ce qui est humain. Elle ne cherche plus que la volonté de Dieu et n’est comblée que par elle, et ne veut que plus d’amour à mettre dans ce qui arrive ou pourrait arriver. Quand quelque chose la trouble, l’âme cherche son repos en Lui et Lui confie tout ce qu’elle a à vivre.

• Cinquièmement, c’est l’union. L’âme est dans une grande paix, vit sur cette terre comme si elle n’y vivait pas, et ce, dans un profond recueillement et une grande solitude. La vie continue mais l’âme est à l’abri des regards, dans le secret. Elle découvre Son action, en jouit, offre et remercie pour tout dans son cœur. Même si ce degré ne se fait pas sentir d’une manière continue, l’âme reste unie à l’Esprit Saint par un lien très étroit et indissoluble. Peu de personnes atteignent ce degré d’union.
Ce sont les âmes qui se sont laissé faire. Le souffle de l’Esprit Saint les a préparées et conduites. C’est Lui qui purifie, donne la vie et embrase. L’Esprit Saint qui est l’Amour agit en elle. L’âme découvre Sa présence dans les êtres et dans tout l’univers. L’Amour la conduit et lui fait découvrir des choses nouvelles. Elle Le reconnaît dans l’œuvre du Père, dans la vie de Jésus et monte en elle un chant de louange, de remerciement et d’amour.

b colombe

Conclusion :
Laissons-nous donc guider par l’Amour, en nous abandonnant en toute confiance à l’Esprit Saint. Notre vie sera plus belle, elle deviendra louange. Merci pour ce don dont Jésus nous a gratifiés le jour de la Pentecôte. Chaque jour demandons à l’Esprit Saint que ces dons agissent en nous.
Rose M, Oblate

 

lundi, 24 juin 2019 00:27

La force intérieure de la femme

paulette c.jpgJ’ai invité les femmes à prendre davantage conscience de leurs forces intérieures : « D’où nous vient cette force ? En nous, il y a quelque chose de plus grand que nous, quelque chose de divin qui ne disparaîtra jamais...

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dimanche, 02 juin 2019 20:18

Le grand don de Dieu

colombe«Renaître à la vie divine dans le baptême est le premier pas ; il faut ensuite se comporter en fils de Dieu, c’est-à-dire se conformer au Christ qui œuvre dans la sainte Église, en s’impliquant dans sa mission dans le monde. À cela, veille l’onction du Saint-Esprit : « sans sa force, nul n’est en l’homme » Sans la force de l’Esprit Saint, nous ne pouvons rien faire : c’est l’Esprit qui nous donne la force d’avancer. De même que la vie tout entière de Jésus fut animée par l’Esprit, de même la vie de l’Église et de chacun de ses membres demeure sous la tutelle de l’Esprit Saint.

Le « souffle » du Christ Ressuscité remplit de vie les poumons de l’Église ; et, en effet, les bouches des disciples, « remplis de l’Esprit Saint », s’ouvrent pour proclamer à tous, les grandes œuvres de Dieu (cf. Ac 2, 1-11). L’Esprit Saint, c’est le grand don de Dieu. Et nous avons tous l’Esprit à l’intérieur. L’Esprit est dans notre cœur, dans notre âme. Et l’Esprit nous guide dans notre vie afin que nous devenions le sel juste, et la lumière juste, pour les hommes.
Et, je me demande : comment peut-on s’apercevoir que l’on a reçu le Don de l’Esprit ? Si nous accomplissons les œuvres de l’Esprit, si nous prononçons les paroles enseignées par l’Esprit (cf. 1 Cor 2, 13). Le témoignage chrétien consiste à ne faire que, et tout, ce que l’Esprit du Christ nous demande, en nous concédant la force de l’accomplir».

Extrait de L’audience générale du Pape François
Le 23 mai 2018

dimanche, 02 juin 2019 17:58

Certificat de reconnaissance

L'organisme Développement et Paix a été fondé en 1967 par les évêques canadiens. Le but de cet organisme rejoignait mes convictions d`aider les plus pauvres parmi les pauvres, en agissant sur les causes profondes de la pauvreté.

J`étais à la fin de la vingtaine à ce moment. J`enseignais en Haute-Mauricie et je suis devenue la répondante de Développement et Paix dans ma paroisse.

À ma retraite, je suis revenue dans mon diocèse natal, Nicolet. J`ai continué de m`impliquer comme membre de l`organisme dans la paroisse Bon-Pasteur à Drummondville à chaque année.

L`objectif de Développement et Paix me tient tellement à cœur que j`ai passé le flambeau à des plus jeunes pour la continuité.

                 bianca rejeanne  jean denis rejeanne   rejeanne garcon

                                                                 groupe oblates

Mme Bianca Mailloux, agente de pastorale et Benjamin Mercier, un jeune du secondaire ont pris la parole cette année, aux messes en ce 5e dimanche de la solidarité internationale 2019.

Par la même occasion, le président national de Développement et Paix, M. Jean-Denis Lampron m`a remis un certificat de reconnaissance pour ma contribution et mon engagement envers la justice sociale.

Sincèrement, Réjeanne A

Vous connaissez sans doute la publicité que nous voyons parfois à la télé, des gens qui tombent à la renverse à l’annonce d’un cancer. Je trouvais que ce mouvement était un peu exagéré. Un jour, j’ai compris que ce geste était juste.
À travers cette vidéo, je vous livre mon témoignage en toute humilité parce que la grâce du moment présent fut pour moi source de vie et d’espérance à l’annonce de cette maladie.

Pour visionner le témoignage, clic sur l'image

témoignage louise fleury

Louise Fleury, Volontaire de Dieu

jeudi, 08 septembre 2016 23:01

Des femmes au foyer, bâtisseuses de maisons

des femmes batisseuses de maisonsÉdition dominicale du 28 février 2016 du quotidien indien en malayalam Deepika.

https://tradeswomenbuild.org/ pour voir comment ils présentent l’article.

Inde : Des femmes au foyer, bâtisseuses de maisons

Un toit! N’est-ce pas le rêve de chacun? Ce rêve est devenu réalité par, et pour des travailleuses de la construction du Kerala. En se spécialisant dans ces métiers non traditionnels, en s’organisant et en travaillant, elles gagnent un salaire décent. Elles ont un horaire de travail conciliable avec leurs responsabi­lités familiales.  Plusieurs s’organisent pour construire les maisons les unes des autres.

C’est ainsi que commence l’article du journaliste Reji  Joseph dans le quotidien Deepika, en malayalam, du 28 février 2016. On y apprend que Thresiamma Mathew et le Centre des femmes Archana, qu’elle a fondé il y a plus de 25 ans, ont  formé 2 000 maçons, 200 charpentiers, 100 électriciennes et 50 plombiers, toutes des femmes.

Une délégation de femmes de métiers non traditionnels des États-Unis ira visiter le Centre et d’autres organismes en Inde, du 22 janvier au 7 février 2017.

Traduction anglaise de l’article  Télécharger

(visiter le site Web du Centre des femmes Archana – en anglais) https://www.archanawomencentre.org/
Écouter la vidéo: clic sur l'image

 image youtube femmes au foyer

mardi, 01 mai 2018 22:44

Témoignage de Paulette Chénard

Pour visionner le témoignage: https://www.youtube.com/watch?v=M1Gy7MhC4qo

paulette louise

Témoignage de Paulette C. interviewée par Louise F, dans le cadre de l'émission "Une porte sur la vie"
diffusée sur le câble communautaire NousTv
Réalisation et montage: Louise F.
Produit par la paroisse St-François d'Assise de Drummondville

jeudi, 01 novembre 2018 21:29

La broderie est une réponse

coin artiste broderie denise gagne fr

«Puisque le Grand Œuvre de l’univers ne peut s’achever que par chacun, l’Artiste cosmique et divin l’invite à devenir à son tour un véritable artisan de la beauté du monde… » (1)

Pour moi, la broderie est une réponse à cette douce invitation. Ces pièces réalisées
point après point me permet d’actualiser un potentiel donné et reçu comme un cadeau.
Cela me permet aussi de perpétuer un art de vivre illustré ici dans deux sortes de broderie : une broderie noire (les balcons) et un boutis (la fleur). Comme consacrée séculière, c’est pour moi une façon de vivre ma mission en contribuant à la beauté du monde.
Denise G.
(1) Jean Proulx – Artisans de la beauté du monde.

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