Louise Fleury

Louise Fleury

mercredi, 25 novembre 2020 00:18

L’amour

Je porte dans mon cœur tous les Volontaires et j’adore votre mission : « Vivre partout l’amour du Christ au moment présent ».

Vous vivez cette spiritualité pleinement. L’amour est important dans un monde brisé. Jésus nous appelle à incarner son amour car l’amour de Dieu peut transformer le monde.
Rév. Gerald Michaud

artistlike aLe grand cri de l’humanité, ce n’est pas la guerre, la famine, etc., c’est le manque d’amour. Partout, tout le monde a besoin d’amour, que ce soit en prison, dans les résidences pour personnes âgées, etc. Là, est la force des équipes des Volontaires de Dieu car c’est l’amour qui y règne. Seul, c’est plus difficile mais ensemble, tout devient extraordinaire.

Dans toute situation, Dieu nous appelle à incarner l’amour du Père et c’est ce que font les Volontaires. Retournons en arrière dans nos souvenirs et rappelons nous comment nous avons rencontré l’amour de Dieu.

« J’étais dans une situation très difficile, j’étais impliqué dans plusieurs activités, incapable de dire non et j’étais très fatigué. Allant à l’hôpital pour rencontrer un patient, je me trompe de chambre et je tombe face à une famille en deuil. Dieu m’avait envoyé dans cette chambre pour les réconforter… »

Dieu a besoin de nos mains, de nos yeux,… pour réaliser ce beau projet d’amour.

« Entrant un jour dans un centre communautaire, je vois une statue, une femme qui tenait haut son enfant. Ma première impression fut que c’était Marie et Jésus. Mais cette statue représentait en fait, n’importe quelle mère et son enfant et c’est alors que j’ai compris que cet enfant, c’était moi. Que Dieu m’élevait grâce à mon baptême et qu’il me disait : Tu es mon fils bien aimé et je t’aime, tu es mon enfant. »

Dieu nous prend dans notre petitesse et nous élève avec les princes, il nous remet notre dignité.

L’amour, c’est le cœur de notre mission. Il faut prendre conscience que Dieu nous aime et qu’on doit lui faire confiance parce que les Volontaires ont dit « oui » à Dieu et Il est dans tous nos gestes de tendresse et d’amour. Il apporte l’amour dans notre quotidien. Le cœur de notre spiritualité, ce sont les cinq attitudes de vie.

Les jeunes d’aujourd’hui avec leurs tatous, leurs cheveux de toutes les couleurs, nous disent : « Hé !, je suis là….! » Les personnes âgées s’ennuient, elles ont besoin de savoir que quelqu’un pense à eux.
C’est pourquoi, nous pouvons être missionnaires partout. Dieu nous emmène là où il y a un besoin. Parfois, on ne croit pas être à la hauteur, mais Dieu sait ce que l’on peut faire, Il connaît nos capacités, nos qualités,… Il nous envoie avec ce que l’on a.

adina voicu aLe Royaume de Dieu est le royaume de l’amour. Chaque fois que je fais un geste d’amour, j’agrandis le Royaume. Nos petits gestes ont une puissance extraordinaire.

Le Père Parent nous a enseigné à ne pas critiquer, à ne pas écraser les dons des autres. La critique tue la vie, empêche de s’épanouir et de se réaliser. L’absence de plainte signifie que Dieu est là, avec nous et qu’il faut voir le positif des événements car Dieu est agissant en chacun de nous :

« Je suis aumônier dans une prison et je réalise que j’aurais pu moi aussi me retrouver là si je n’avais pas eu d’amour dans ma vie. »

La prison est un milieu de grandes souffrances mais ce sont des enfants de Dieu. Ils nous crient qu’ils ont besoin d’amour. Le chemin de l’amour est un chemin de croissance.

La plus grande souffrance peut se changer en chemin de Vie, de Résurrection. Certaines situations ne sont pas faciles, mais nous sommes appelés à grandir, à devenir transparents de l’amour de Dieu.

Si nous acceptons de souffrir, nous verrons d’autres miracles se produire. En accueillant la réalité de ce qui se passe, nous permettons à Dieu de faire son travail.

Dans l’Eucharistie, nous nous rappelons la présence de Dieu. Nous pouvons rencontrer Dieu dans les autres car Dieu y est à l’œuvre, il veut nous faire prendre le chemin de l’amour.

Rév. Gérald Michaud, I.V.D.

(Extrait de la conférence donnée lors de la rencontre des Volontaires de Dieu à la Basilique.)

 

samedi, 21 novembre 2020 22:30

Mon approche pour aborder la Bible

approche violaine menuLa Bible est une bibliothèque de récits racontés et à raconter.

Le mot hébreu "raconter" se dit « haggada » ou « higgid » qui veut dire « raconter ». C’est le 1er niveau de la transmission, raconter le récit en son sens littéral, le Peshat. Il s'agit de le

laisser se déposer en soi.

Ensuite vient le questionnement, le Drash. Il importe de laisser monter en soi les questions qui se posent sur les images étonnantes.

De là, on cherche dans la Bible d'autres images semblables dans d'autres récits; on les compare, on les met en parallèle (Remez), on constate le fil d'Ariane qui les unit.

Alors émerge un sens nouveau (Sod), une direction d'interprétation pour changer sa vie, sa relation à Dieu, aux autres et à soi. C'est apparenté à la lectio divina.

Voici mon approche expliquée dans cette simple vidéo en français :  https://youtu.be/EhJKdET1bbU 

Visionner mes autres vidéos sur ma chaîne youtube: https://www.youtube.com/channel/UCE2NKNmrazaU_h3VBEMh4fA/videos

Violaine C.

vendredi, 30 octobre 2020 00:05

La peur ou la confiance

En ce temps difficile quel effet se produit en nous de la deuxième vague de pandémie ?
Avons-nous peur de revivre la solitude, d’être à l’écart, d’être coupé de la communication avec nos familles, d’être touché par la maladie ?
Écoutons ce vidéo qui nous interpelle à faire un choix dans la confiance.

Louise F. Volontaire de Dieu

Pour visionner clic sur l'image

louise pr site

vendredi, 23 octobre 2020 23:33

Réflexion

hilda mathieurBien sûr, il y a plusieurs raisons que maintenant nous trouvons pour avoir peur, mais Jésus nous enseigne aujourd’hui que l’Amour est le seul capable de la vaincre.

Nous sommes une génération de cubaines et cubains très privilégiés, nous assistons à un changement profond social et politique…Comme Église, nous vivons le non-imaginable, très près de ce qu’ont vécu les premiers chrétiens au temps des catacombes.
Nous avons été témoins de l’expérience d’une vie de foi au milieu de l’hostilité.

Nous avons vécu une période spéciale sans perdre l’enthousiasme et la joie, époque d’invention. « Rappelons-nous les savons faits à la maison et les biftecks de pamplemousse »… et tant d’autres choses…
Nous avons vécu l’expérience de la visite de trois Papes.

Un jour le père Miyares, président de la Concur, me demanda d’accompagner un prêtre de la CLAR dans tout le pays. Et étonné me dit : « Comment se fait-il que partout où nous arrivons, tous te connaissent? »
Parce que pour nous, c’est bien normal : l’Église de Cuba de St Antonio à Maisi (de l’est à l’ouest) est une grande famille.

Nous avons vécu l’interdiction du dollar, l’expérience de deux monnaies dans le pays, le carnet de rationnement sur tout, les changements économiques, le progrès technologique avec l’informatique, la digitalisation, etc…communs à l’humanité. Nous avons vu naître les enfants qui ne levaient pas la tête par faiblesse et qui maintenant sortent presqu’en marchant de leur berceau.

Enfin, nous terminons avec cette expérience difficile au niveau de la planète, du Coronavirus et la célébration de la Semaine Sainte à la maison. Que nous reste-t-il de plus à vivre… nous ne le savons pas mais c’est bien. Je veux remercier Jésus au Saint Sacrement dans l’autel de mon cœur, pour tant d’amis et amies avec qui j’ai pu partager cette vie qui a été une amitié inconditionnelle soumise à l’épreuve du silence, de la distance et de la maladie. Plusieurs sont partis, mais je suis certaine que la fête et la joie de la rencontre se maintiennent intactes comme durant les meilleurs moments de cette vie.

Ces paroles viennent de mon cœur, aujourd’hui Jeudi Saint et se dirigent à ceux qui ont ressenti cette alliance d’amour qui fut scellée dans le grand banquet de la Cène du Seigneur, comme une perpétuelle action de grâces.

Ceux et celles qui sont arrivés à la dernière heure ne sont pas exclus, ils ont rencontré le fil de la résonnance intérieure de l’amitié qui est sans fin. Parce que si c’est de l’amitié vraie, nous y restons FIDÈLES.

Hilda M.
Avril 2020

vendredi, 23 octobre 2020 21:38

Toute à tous

graziella falbo europe menuComme oblate missionnaire de Marie Immaculée j’adhère à ce que le père Parent, notre fondateur, disait : l’oblate doit se faire « toute à tous ».

Elle est ouverte à tous les milieux et elle est destinée, par vocation, à aller « partout où le Christ a ses droits ». Pour nous, oblates, il est important de témoigner dans la vie de tous les jours. Nous ne devons pas parler de Dieu mais vivre l’Évangile, cela nous rapproche des gens et c’est notre manière d’évangéliser le monde. Ainsi je commence par ma famille, les ami-e-s, la communauté paroissiale et toutes ces personnes que Dieu met sur ma route chaque jour.

Nous avons un grand trésor dans notre spiritualité qui est de vivre le moment présent. Cela me permet, chaque jour, de recommencer à vivre avec amour et par amour.

Qu’est-ce qui me stimule à agir ainsi? Une dette de reconnaissance envers Dieu qui, en 1988, à Lourdes, a permis ma conversion. Depuis ce moment, ma vie a été un continuel élan missionnaire, en particulier face aux très nombreux jeunes qui sont, pour moi, parmi les catégories les plus faibles et les plus pauvres de notre temps.

En Calabre, la région la plus au sud de l’Italie, je collabore et j’œuvre avec les Missionnaires Oblats. Depuis presque 12 ans de présence, nous avons accompli plus de 35 missions populaires auxquelles j’ai participé, avec les jeunes, pour une évangélisation plus spécifique et directe.

Comme le dit le Pape François, « … nous devons ouvrir les portes des églises pour arriver aux périphéries de l’existence ».

Graziella F.

vendredi, 23 octobre 2020 20:33

Puis-je devenir libre ? (3)

depliant puis je devenir libre part deux fr
Certainement si je parviens : à atteindre un certain degré de concentration.

La concentration, c’est l’application de tout l’effort intellectuel sur un objet bien déterminé.
La concentration, ou la conscientisation, nous aide à établir une communication directe avec nous-même, avec notre zone profonde. Chacun doit discerner dans ce qu’il vit, ce qui le construit, ce qui élimine ses peurs, l’affranchit du sentiment de culpabilité, lui permet de se réaliser, de s’accomplir dans la ligne de son être.
Je dois me concentrer à connaître, à accepter, à apprécier, à vivre le meilleur de moi-même.
Les qualités, les dons, les talents, les énergies, les aptitudes sont déposés en moi comme des grains de semence que je dois cultiver, que je moissonnerai un jour et dont les autres pourront bénéficier.
Être libre, suppose que l’on a une bonne connaissance de soi, ce qui exige la facilité à se conscientiser sur les richesses de son être.

Conclusion des parties 1-2-3

Si un être humain voulait, 15 minutes par jour, s’adonner à un mode de réflexion comme celui-ci: s’asseoir dans une situation confortable et relaxante, vouloir s’abstenir de raisonner, d’analyser ses sentiments frustrants, bannir ses angoisses, ses inquiétudes, il déciderait volontiers d’améliorer ses aptitudes d’écoute, de compréhension, il sentirait sourde en lui l’indulgence, l’amitié, la fraternité, la miséricorde.

Volontiers, il verrait que donner sa confiance aux autres d’une façon spontanée est plus rentable que l’exercice d’un contrôle sur les autres pour découvrir s’ils sont ou non dignes d’affection.

On devient libre quand on vit régulièrement et pleinement les richesses de son être. La vie est plus une affaire de cœur que de sentiments ou de tête.

Réflexions personnelles

1. Qu’est-ce qui m’inquiète présentement dans mon entourage ou dans l’actualité ?
2. J’ai des qualités, des talents, des aptitudes, lesquels ?
3. Suis-je porté à me culpabiliser ? Surtout à quel sujet ?
4. Comment est-ce que je peux rester libre aujourd’hui par rapport au passé ?

Extrait de la Collection Volontaires de Dieu, « Puis-je devenir libre ? »
Groupe associé à l’Institut séculier. Les Oblates Missionnaires de Marie Immaculée

Puis-je devenir libre  ? Si je parviens à dominer mes inquiétudes (partie 1)
Puis-je devenir libre  ? Certainement si je parviens : à m’accepter comme je suis (partie 2).    

 

jeudi, 22 octobre 2020 23:20

Des rencontres très enrichissantes

violaine retourChers ami.e.s, 
Nos rencontres bibliques sont commencées sur le Web depuis le 10 septembre dernier et vont bon train.
Voici le lien qui vous conduit à la vidéo sur YOUTUBE; c'est un résumé que je fais de la rencontre qui est, il va sans dire, beaucoup plus animée puisque les participant.e.s y apportent beaucoup d'eux-mêmes et de leurs découvertes.
https://www.youtube.com/watch?v=3yUHc0CqFWY

Le livre de Jonas est à la fois étonnant et énigmatique. Il nous pousse à chercher un enseignement pour notre existence au-delà du fait qu'il a survécu (ou pas) dans le ventre du poisson. Et pour moi? Quel est le ventre qui m'avale sans cesse et m'empêche peut-être d'accomplir la voie de Dieu dans ma vie? Peut-être ai-je besoin de la matrice de Dieu pour me sentir "miséricordié"?

Ce sont des rencontres très enrichissantes. Le 16 septembre nous avons eu le plaisir d'accueillir sur notre plateau M. Haim Ouizemann, spécialiste de l'hébreu biblique et de la tradition hébraïque. Il habite à Ashkelon en Israël avec son épouse Myriam. J'ai eu le plaisir de coanimer avec Haim la rencontre sur Jonas sur le Web. C'était très particulier de pouvoir opérer ainsi, lui à partir d'Israël, et moi du Québec. Les participant.e.s furent enchanté.e.s de cette rencontre et en redemandent. Haim est toujours le bienvenu sur notre plateau, quoique nous sommes conscients de son horaire chargé.

Si vous comprenez le français, il est toujours temps de vous joindre à nous si dans votre coeur vous aimeriez faire partie de ces rencontres. Vous n'avez qu'à communiquer avec moi via cette adresse internet. violainecouture@hotmail.com

Bonne écoute!
Violaine

 

william 2000 pixabay menuÀ l'âge de treize ans, je connaissais déjà l'Institut et de plus en plus j'observais comment ces personnes vivaient la Présence de Dieu et la Charité en action en plein monde. C'est ce que je cherchais, l'opportunité d'aller de par le monde pour partager et approfondir le bonheur de connaître le Dieu si bon de l'Évangile alors que souvent on le présentait surtout sévère et punisseur.

N'étant pas attirée par la vie de communauté, à vingt et un ans, je suis entrée dans l’Institut en poursuivant mon travail d'enseignante au même endroit.

Après cinquante-cinq ans de vie dans l’Institut, je suis pleine de reconnaissance pour cette grande grâce. Merci mon Dieu.

Céline B.

mercredi, 30 septembre 2020 23:25

Création artisanale

courte pointe Fr

Voici la courtepointe intitulée « Entre amis » que j'ai fabriquée durant le confinement dû à la COVID-19. Elle contient plus de 8 000 pièces.
Je passe beaucoup de temps à coudre des courtepointes pour l'unité de soins intensifs néonatals de deux hôpitaux locaux.
Le groupe de travail dont je fais partie s'appelle « Baby Love Project » (Pour l'amour des bébés).
À la mi-mars, les hôpitaux ont été fermés au public et le groupe n'a pas pu remettre les 30 courtepointes
qu'il leur donnait habituellement chaque mois. Alors, pour m'occuper, j'ai décidé de travailler sur cette courtepointe.
Claudette a bien des courtepointes à son actif entre autre celle-ci réalisée en 2019.
Elle l’a intitulée: Theresa Ann.
Une personne qui fabrique des courtepointes avec moi m'a donné tous ses restes de tissu et j'en ai eu assez pour faire celle-ci. Le patron vient de Primitive Gatherings. Le tissu reproduit une scène de la Guerre civile.
Vous pouvez voir mon étiquette de signature que j'ai dessinée sur mon ordinateur et imprimée sur un tissu spécial. Vous noterez également que j'ai ajouté ma photo ainsi que le logo des oblates pour indiquer ma vocation.
Durant le confinement, j'ai aussi cousu quatre fourre-tout pour utiliser les morceaux de tissu qu'il me restait.
Pour mieux vivre mon vœu de pauvreté, j'essaie de jeter le moins possible et d’utiliser tous mes restes de tissu. Ce ne sont pas les idées qui manquent.
Claudette C.

mardi, 29 septembre 2020 19:10

65e anniversaire de Marguerite L.

gateaufete maggie. Le 9 août 2020, quelques oblates ont célébré le 65e anniversaire de Marguerite Lambert. À cause de la pandémie, on a dû annuler la retraite annuelle et on ne pouvait tenir aucun rassemblement important.

Pauline Labbe a donc organisé une petite fête pour Marguerite parce que nous pensions que cette dernière méritait vraiment qu'on souligne son anniversaire. Pauline Labbe a préparé un office de prières dans une petite église située tout près de chez nous et que nous avions réservée. Les Sœurs de la Présentation de Marie nous ont ouvert leur chapelle pour l'occasion. Assistaient à la cérémonie Marguerite et ses deux sœurs, sa nièce Michelle, Anita Plourde, sœur Rachel, une sœur de Mercy, quelques Sœurs de la Présentation, Pauline et moi. Nous étions 10 en tout et, comme l'exige la loi, tout le monde portait le masque.

gateaufeteJ'ai commencé avec quelques mots de remerciement à l'adresse des Sœurs de la Présentation qui nous avaient ouvert leur chapelle. J'ai aussi remercié, en les nommant, chacune des personnes qui assistaient à cette cérémonie. Ensuite, Pauline a commencé les prières, après quoi, Marguerite, Pauline Labbe et moi-même avons renouvelé nos vœux. Par la suite, nous avons pris des photos, puis nous sommes allées manger dans un restaurant tout près, accompagnées des Sœurs de la Providence qui se sont jointes à nous. Pour respecter la distanciation sociale, nous avions deux petites tables espacées de six pieds.

Après le dîner, nous nous sommes rendues chez Pauline où nous avons dégusté le gâteau de fête de Marguerite commandé par Claudette. D'autres photos ont été prises et nous avons remis à Marguerite une carte confectionnée par Claudette ainsi qu'un chèque-cadeau couvrant le paiement de son téléphone cellulaire pour un an. C'est très important pour Marguerite parce qu'elle utilise beaucoup les messages textes à cause de sa perte d'audition. Pauline Labbe avait décoré la table avec une bougie pour chacune des convives.

Malgré les restrictions, Marguerite était très reconnaissante de ce que nous avons fait pour elle. Ses deux sœurs ainsi que sa nièce Michelle étaient très contentes de pouvoir célébrer avec nous. Les deux sœurs de Marguerite, dont elle prend soin, étaient très heureuses que nous ayons pu récompenser Marguerite (Maggie) à l'occasion de ce jour spécial. Claudette C.

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